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La page taurine de Jacques Durand… Dans les années cinquante et soixante qui a le mieux photographié le monde de la corrida et par conséquence l’Espagne grise et pauvre de l’après-guerre ?
Celle de l’espadrille, des bonnes sœurs, des tricornes noirs de la Guardia Civil, de la corrida comme intense passion populaire et moyen de sortir de l’indigence ? Des photographes catalans. Peu ou pas aficionados.
Oriol Maspons, Ramon Masats, Leopoldo Pomés… (cf. La page taurine 269). Leurs œuvres « taurines » sont jusqu’au 14 mai, exposées à Arles avec celles de Carlos Cazalis, le photographe de José Tomás, à la galerie Anne Clergue…
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