Une temporada 2016 passionnante aux Arènes et au Théâtre de Bayonne…

 La ville de Bayonne et la Commission Taurine extra municipale vous adressent leurs voeux les plus chaleureux pour la nouvelle année. Avec de grands moments d'émotions et de vérité autour de cet art séculaire que nous souhaitons défendre avec la plus grande des déterminations.

Pour ce qui concerne les toreros, nous avons décidé d'attendre le plus tard possible dans la temporada afin de pouvoir vous proposer, comme nous l'avons fait en 2015, les toreros révélations et les triomphateurs des Ferias de Séville et Madrid.

Comme nous l'avons indiqué, les grand temps de la Temporada 2016 ont été arrêtés, notamment la Corrida Goyesque du 15 août.

Les élevages qui seront programmés l'été prochain seront dévoilés en mars/avril.

Nos rendez-vous pour la Temporada 2016...

  Feria des Fêtes

• Samedi 30 juillet : corrida de rejoneo

• Dimanche 31 juillet  :  corrida des fêtes

Corrida Portugaise

• Samedi 13 août

Corrida Goyesque

• Lundi 15 août : novillada sans picadors et corrida

 Feria de l'Atlantique

• Samedi 3 septembre : novillada sans picadors et corrida

• Dimanche 4 septembre : novillada et corrida

Bureau des Arènes: 0 970 82 46 64 - www.corridas.bayonne.fr

Lyrique

La ville de Bayonne et l'Office de Tourisme ont décidé d'organiser pour la première fois un récital lyrique exeptionnel le 12 mars 2016, autour du ténor navarrais Eduardo Zubikoa.

Nombreux ont été les spectateurs de la Corrida Goyesque du 15 août dernier à souhaiter pouvoir écouter de nouveau Eduardo Zubikoa.

Ce récital autour de l'opéra à Bayonne est également né du désir de prolonger l'hommage au peintre Ciga, artiste majeur de la peinture navarraise, dont on connait la passion pour la musique. C'est aussi l'occasion de renforcer les liens étroits qui unissent les villes jumelées de Pampelune et Bayonne.

Aux côtés d'Eduardo Zubikoa les sopranos Marta Huarte et Sofia Esparza, le baryton Pablo Azpeitia et le pianiste Daniel Gutierrez se produiront sur la scène du théâtre de Bayonne.

Une sélection d'opéras de compositeurs basques, parmi lesquels on peut citer Sorozabal, Guridi, Usandizaga ou Arrieta, suivie d'airs d'opéra mondialement connus, sera donc interprétée le 12 mars:

- Air pour soprano, opéra MIRENTXU de Guridi.                                         

- Romanza de Joshe Mari, opéra MENDI-MENDIAN de Usandizaga.              

- Sasibil mi caserío, opéra EL CASERIO de Guridi.                                       

- Terceto, de Marina opéra MARINA de Arrieta.                                      

- O mio babbino caro, opéra GIANNI SCHICCHI de Puccini.                         

- Parigi, opéra LA TRAVIATA de Verdi.                                                     

- Toreador, opéra CARMEN  de Bizet.                                                        

- La ci darem la mano,  opéra DON GIOVANNI  Mozart.                             

- Habanera, opéra CARMEN de Bizet.                                                         

- Au fond du Temple Saint, opéra LES PÊCHEURS DE PERLES de Bizet.        

- Barcarola, opéra LES CONTES D´HOFFMANN d’Offenbach.                    

- Una furtiva lagrima, opéra L’ELIXIR D´AMORE de Donizetti.                       

- Caro Nome, opéra RIGOLETTO de Verdi.                                                  

- Bella figlia dell´amore, opéra RIGOLETTO de Verdi.                             

- Brindis-Libiamo, opéra TRAVIATA  de Verdi.

Les billets sont en vente au Théâtre de Bayonne. Tél : 05.59.59.07.27.

Tarif unique : 20 euros. Gratuit pour les moins de 18 ans afin de permettre aux jeunes générations de découvrir l'art lyrique.

(Communiqué)

LAGRAVÈRE

A la ganadería « La Ceiba » de Didier Martín, quatre vaches donnant un bon jeu ont permis à Thomas Dufau, Michelito et son frère El Galo de profiter de la bonne qualité du bétail pour peaufiner leur préparation avant leurs prochains rendez-vous.

Rappelons que Michelito débutera sa temporada le samedi 23 janvier à El Grullo où il affrontera des toros de Cerro Viejo aux côtés de Pablo Hermoso de Mendoza et El Chihuahua.

GUADALAJARA

CARMENA

Bon, elle, décidément, elle n’en manque pas une… Et l’on n’a pas beaucoup à attendre pour découvrir la dernière en date ! Elle, c’est Manuela Carmena, la mairesse de Madrid, qui vient de faire enlever tout ce qui concerne la tauromachie de la page touristique web de Madrid !

Après avoir retiré la subvention à l’école taurine de la capitale, puis organisé un colloque anti-taurin qui a tourné au bide monumental,  on peut à présent se demander ce qu’elle va pouvoir inventer pour s’en prendre aux toros dans une ville dont c’est une des images de marque exploitée depuis des lustres par toutes les agences touristiques.

A vrai dire, son geste est plus symbolique qu’autre chose car dès sa réouverture, les arènes de Las Ventas seront toujours autant fréquentées, surtout pendant la San Isidro, et les aficionados n’ont pas besoin de Carmena pour savoir où se trouve la plaza de toros.

Sait-elle seulement qu’il s’est vendu en 2015 plus de 700.000 billets durant la temporada, un chiffre en augmentation par rapport à l’année antérieure. Et que dire aussi des retombées économiques pour une ville dans le domaine notamment des transports, de l’hôtellerie et de la restauration…

Mais quand on veut agir par protagonisme politique en mettant en exergue une idéologie qui ne tient pas compte des réalités, on se fourvoie totalement. Ça durera ce que ça durera… Il est vrai que lorsqu’on émet l'idée pour le moins saugrenue de créer un service social pour les étudiants qui consisterait à balayer les rues et qu’on a la non moins lumineuse intention de demander aux enfants de ramasser les mégots pour nettoyer les rues de Madrid de plus en plus sales, à tel point que sans mauvais jeu de mots, beaucoup s’en sont récemment indignés, on peut tout se permettre… Pour Carmena, les toros semblent devenus une prioirité, dans le mauvais sens, hélas. D’autres problèmes plus urgents attendront…

PARIS

Il appartient aux plus grandes « figures » de la tauromachie du XXème siècle. Au cours des années 60, période parfois qualifiée de second âge d’or de la tauromachie, il a plus que tout autre incarné la maestría, en unissant dans son art une exceptionnelle compréhension des toros comme clef de la domination et une perfection d’exécution des suertes fondamentales, tant à la cape qu’à la muleta ou lors de l’estocade. Par-delà les évolutions du toreo, l’élégance naturelle et la magistrale simplicité de son style conservent une force intacte et un cachet unique.

Admiré par l’ensemble de la planète taurine, il constitue une référence aussi bien pour ceux qui ont eu la chance de vivre ses inoubliables leçons, dispensées avec cette « difficile facilité » qui le caractérisait, que pour ceux qui nourrissent leur afición par l’analyse conduite par un grand maestro de l’évolution de la fiesta

Pour le Club Taurin de Paris  c’est une vive satisfaction et un très grand honneur de recevoir Francisco Camino Sanchez PACO CAMINO le jeudi 4 février à partir de 20h au Grand salon « Spindler » du restaurant « Chez Jenny », 39, Boulevard du Temple Paris (3e), M° République.

Participation aux frais, comprenant la soirée, précédée d’un apéritif et suivie du dîner : membres du Club : 32€, jeunes jusqu’à 25 ans (à jour) : 15€, hôtes de passage : 50€. Rappel du montant des cotisations : individuels : 60€, couples : 100€, jeunes : 20€.

Afin de faciliter l’accueil, il est impératif de s’inscrire par mail en répondant à ce courriel, ou à l’adresse Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.  

(Communiqué)

GRANA Y ORO

Avec Iván Fandiño comme invité, l’émission revient sur les dernières ferias en Amérique, sur la visite du Soro à Ségovie, le novillero Pérez Pinto, une expo à Valladolid et la faena historique de José Tomás en 1997 à Las Ventas.

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