A Bayonne, orage, certes, mais pas désespoir ! Quoique…

Comme un message venu du ciel, aurait-on pu penser… En effet, à peine terminée, la corrida dominicale de Bayonne a laissé place à un bel orage et de retour à l’hôtel, j’ai alors pensé qu’on l’avait échappé belle !

Tout allait donc pour le mieux, une bonne corrida, une douche évitée, ne restait plus alors qu’à traiter les photos et écrire les reseñas de la journée.

Tout allait pour le mieux, disais-je, sauf que… ça n’a pas duré longtemps ! Après cet excellent week-end passé à Bayonne, la tuile est arrivée en fin de soirée, après deux ou trois heures passées devant l’ordi. Vers minuit, tout était prêt pour envoyer les nouvelles du jour, il ne restait plus qu’à appuyer sur le bouton, un clic et… Pan !!! L’écran noir de mes nuits blanches…

La panne subite, de celles qui ne préviennent pas, plus rien, et pire, tout perdu. Je ne sais pas si c’était à cause de l’orage, mais ça n’a pas prévenu… et il ne me restait plus qu’à tout recommencer !  Voilà pourquoi les couche-tard et les lève-tôt auront été peut-être surpris de trouver porte close en allant sur le site, mais à minuit, tout reprendre à zéro, à savoir réécrire tous les textes, c’était au-dessus de mes forces.

J’ai donc décidé de plier les gaules et d’attendre le lever du jour pour reprendre les opérations en mains. Pas de désespoir, juste une petite contrariété, mais côté orage, ça ne s’est pas arrangé par la suite, car je m’en suis pris un sur le chemin du retour, précisément dans les Corbières, qui fera date. 50 km/h sur l’autoroute, visibilité plus que réduite, comme on dit, ça ne faisait pas rire…

Et passée cette zone copieusement arrosée, j’ai encore pris la dernière couche en arrivant sur Nîmes ! Et dire que le jeu à la mode - on n’a encore rien trouvé de plus con, mais ça viendra ! - consiste à se faire verser un seau d’eau sur la tête ! Aujourd’hui, j’étais sûr de gagner !!!