Madrid restera toujours à part dans la tauromachie…

Première corrida et première accumulation de sensations diverses à Las Ventas…

L’un qui fait rentrer un toro vivant, l’autre qui repart à l’infirmerie avec une cornada de 30 cm et le troisième qui gagne la sympathie du conclave et qui sort de l’enceinte sans triompher, mais en se gagnant de nouveaux apoderados…

Pour des raisons diverses, il y a fort à parier que David Galván, Saúl Jiménez Fortes et Alberto López Simón se souviendront longtemps de cette tarde, avec des souvenirs pas forcément agréables pour les deux premiers et bien plus réconfortant pour le troisième.

Ainsi est faite Las Ventas, épicentre de toutes les illusions, déconvenues et souffrances… Comme dans un célèbre magasin, il s’y passe toujours quelque chose et même si les temps ont changé, elle reste la référence. Ce n’est pas pour rien que si tous la redoutent, et sauf exceptions, ils ne peuvent s’empêcher d’espérer un engagement. Au cas où la roue tournerait dans le bon sens…