Que nous restera-t-il de 2013 ?

 Evidemment, je ne vais pas faire l’inventaire de l’éphéméride de la temporada passée dans le détail et si l’on demandait à chacun d’entre vous ce que vous avez retenu de la saison passée, en bien comme en mal, il est évident que les réponses seraient des plus variées.

Ce qui signifie au passage qu’il n’y a pas de vérité dans les toros, que chacun a ses propres conceptions, ses propres aspirations et ses propres critères de valeur. Tant mieux !

C’est pourquoi j’essaie toujours ici de faire abstraction, autant que possible, de mes goûts personnels, ce qui ne me pose pas trop de problèmes dans la mesure où ils sont très éclectiques. Je me sens aussi bien à Nîmes qu’à Céret, à Arles qu’à Mont-de-Marsan ou Bayonne, à Séville comme à Madrid… et partout ailleurs !

Finalement, la seule chose qui m’insupporte, c’est évidemment de voir ma passion remise en cause. Comme la vôtre. Avec cette détestable manie qu’ont certains de préjuger de ce qui est bon ou pas pour les autres. La meilleure réponse en 2014, rester unis dans la défense de notre aficion…