Illustration parfaite de la glorieuse incertitude de la corrida…

 Pour l’un, Alberto Aguilar, ce fut une présentation douloureuse terminée à la clinique.

Pour l’autre, Javier Castaño, ce fut une copie blanche, mais avec tout de même une belle démonstration de valiente.

Pour le dernier, le local de l’étape José Fernando Alzate, ce fut le pire… et le meilleur. Avec en hors-d’œuvre un toro rentré vivant puis après une belle démonstration de vaillance, la récolte du seul trophée de la tarde.

Une fois de plus, d’une seconde sur l’autre, d’un toro sur l’autre, les choses ont basculé, dans la tragédie comme dans le bonheur, curieux mélange de sentiments, de ressentis, aussi antagonistes… C’est ça, la corrida !