On en apprend de belles sur le net…

Déjà que certains prétendent que les toros de lidia sont des animaux apprivoisés, voilà aussi qu’avant d’entrer en piste, ils subissent, selon ces assertions, les pires sévices. Le discours n’est pas nouveau, mais avec la loupe grossissante du net, il devient de plus en plus récurrent, les animalistes ne reculant devant rien dans le domaine de la désinformation.

Extraits d'un texte divulgué dans les milieux anti-corridas : La préparation au massacre...

« Yeux enduits de vaseline, injections en tous genres, pattes parfois aspergées de térébenthine, ce qui procure à l’animal des brûlures insupportables, pour qu’il s’agite et qu’il ait l’air d’un « fauve », aiguilles cassées dans les testicules, dans le but de l’empêcher de s’asseoir ou de s’affaler, coton enfoncé dans les narines et qui descend jusque dans la gorge, dans le but de rendre plus difficile la respiration ; coups de pieds ou de planches sur l’échine et sur les reins (pour ne laisser aucune trace). Les sabots sont parfois limés, voire incisés et on enfonce des coins de bois entre les onglons ; cette opération est faite pendant la contention dans une boite à treuil (en même temps que l’afeitado). Juste avant de rentrer dans l’arène, après l’avoir immobilisé, on lui laisse tomber plusieurs fois des sacs de sable de 100 kilos sur les reins.
Quel courage de tuer un animal déjà affaibli, messieurs les toreros ! »

 Le mieux serait peut-être d’inviter ceux qui répandent de telles énormités à se pointer dans un ruedo, de lâcher un toro… et de leur demander, puisqu’il est soi-disant apprivoisé, d’aller lui enlever la vaseline de ses yeux, le coton des narines et les aiguilles des amiblofis !!!

Voilà, dans la série « quand on n’a rien à dire, il vaut mieux la fermer », pas mal dans le genre, non ?

Vous en voulez une autre pour la route ? Accrochez-vous, ça va décoller. Extrait (fautes d’orthographe comprises)…

« Matador signifie : tueur, je dirais même plus : Assassin ! Des néo-nazis en puissance, et tous les collabos qui les admirent, ces aficionazis qui jouissent de la souffrance de l’animal, et ces pétasses qui mouillent leur culotte en voyant l’animal, agonir et le matador dans son collant de danseuse ridicule qui lui moule les c…s pour le plaisir d’un public aviné et sadique, que de la racaille tout ça, de la vermine tout juste bon à nourrir la terre pour que repousse les coquelicots en souvenir du sang des innocents que l’on a poignardé pour le plaisir de l’homme ! »

Amis néo-nazis et racailles, je vous laisse juges...