Quand on parle de toros, on se demande parfois si l’on n’est pas dans une cour de récréation…

Deux exemples pour illustrer ce propos… D’abord, Óscar Chopera, qui se plaint ouvertement de l’attitude de Salvador Boix qui a déclaré que José Tomás ne se produirait pas dans les arènes des frères Chopera, sans que ces derniers en connaissent la raison. Au point qu’Óscar s’est fendu d’une lettre ouverte dans laquelle il dénonce cet ostracisme qui selon lui n’a pas lieu d’être, à partir du moment où il n’existe aucun contentieux entre les deux parties.

La saison a commencé et l’on ne sait toujours pas où le maestro de Galapagar se produira, si tant est qu’il se produise quelque part ! Ou alors, se monte-t-il en coulisse une exclusivité dont on aura la surprise un de ces jours ?

Autre partie de cache-cache avec certains membres du G10 qui ont perdu quelques contrats dans les premières ferias et dont les apoderados se sont laissé aller à quelques déclarations à Olivenza pour faire écho de leur dépit, insinuant qu’il y a eu comme des maladresses dans la communication. Donc, dans la méthode, celle de leurs protégés comme de la part de la société qu’ils ont choisie pour défendre leurs intérêts... On attend maintenant de voir si les intéressés ont tiré la leçon de cette erreur de stratégie, même s’ils n’avaient pas totalement tort sur le fond.

On dit toujours que le jeu ne demande que faute. Il faut toutefois éviter de les accumuler, sous peine d’y laisser un peu de son prestige. C’est pourquoi il est peut-être temps pour certains de resserrer les boulons. Avec le temps et une meilleure analyse de la situation actuelle, il ne faut pas désespérer…